Le destin du chasseur

Voilà, j'ai commencé depuis peu à écrire une nouvelle, dont voici la première page, j'aimerai un avis dessus (donc comme je sais que y a de bons écrivains).
Pour le sujet, je parle des night lords pré-hérésie (pour éclairer un peu)

Vessiel passa les mains ur son casque, tattonant à la recherche des commandes d'ouvertures, ses lourds gantelets résonnant contre le métal qui couvrait entierement sa tête. Il finit par trouver les loquets et une pression su la rune d'ouverture suffit à activer les loquets des pistons. L'air s'engouffra dans les poumons de l'astarte quand le respirateur de l'armure laissa place à l'atmosphère surchargée de cendres de la planète. Des retours de chaire brulée, de carburant, de poudre et bien d'autres senteurs parvinrent au nez du marine, et il ne put s'empecher d'exprimer son dégout pour ce qu'était devenue la ville qui, quelques heure auparavant, resplendissait telle un paradis de marbre et d'or, "un charnier de cadavres pourrit, comme toujours".

Il connaissait bien cette situation, Ils l'apportaient toujours avec eux, sur leur passage ne restait que sang et pleurs. Après tout, il faisait parti de la huitième légion de l'Astartes de l'Humanité, les Night Lords. Mais ce n'était que le nom officiel, les hommes qui avaient vu combattre la légion leur avaient donné des titres plus imagés et plus tragiques, "les griffes de la mort", "les anges de la terreur", ou d'autres appelations plus gargantuesques les unes que les autres. Cela ne génait pas Vessiel, qui préférait cela à la désignation impériale, si peu valorisante, de Night Lords. Comme si le travail de son maître pouvait être si rabaissé.

Durant une seconde il se souvint du Primarque et de sa propre jeunesse, comment on avait fait de lui un seigneur de la nuit, un parangon de ce que se devait d'être un soldat de la huitième légion. Il se souvint des années d'entrainement dans les grottes glacées de Nostramo, là où il avait combattu les bêtes aveugles qui peuplaient se lieu. La mort était devenue sa compagne, l'effroi son arme et le meurtre sa seule récompense. La seule idée de combattre à nouveau auprès du primarque comme auparavent lui gonfla la poitrine. Et ses deux coeurs battirent à l'unisson quand la pensée de suivre son primarque jusqu'en enfer, si cela avait encore un sens après ses années de guerre, lui pénétra l'esprit. Il prépara son réacteur dorsale, remit son casque et réactiva ses griffes. Puis il sauta de son perchoir, vers le gouffre de ténèbre qu'il restait des bas-fonds de la cité.


Voilà, j'attends vos commentaires.

Nostramo ça existe dans Warhammer 40.000 ou c'est une référence? Sinon j'aime ton texte, bien qu'il soit difficile pour le moment de se faire une idée de ce que ça donnera.

Nostramo existait dans warhammer, c'est la planète d'où provient le primarque des night lord Konrad Kurze, elle fut détruite par ce dernier grâce à un bombardement orbital massif (il récupéra le coeur de rubis de la planète et l'incrusta sur une couronne).

Allez, la suite, que je reconnais avoir un epu moins travailler (j'ai sauté l'étape papier et sui direct allé à l'étape ordi):

L'astarte était caché dans un recoin entre deux blocs d'habitation des getthos. entre ses grandes griffes, la tête d'un chef d'escouade rebel dansait, une expression de terreur profondément gravée sur son visage. Cette terreur lui fit repenser à son arrivée sur la planète, et il s'accorda de plonger quelques minutes dans ses pensées, aucune menace ne méritant réellement son attention.

Cela faisait deux jours et les souvenirs paraissaient encore palpables dans sa mémoire, il avait débarqué en premier, pour agir en temps "qu'ambassadeur de la légion" ainsi qu'uniquement deux soldats de sa compagnie. Le pont d'atterrissage était plongé dans la brume et seul les lumières du palais étaient visibles, une cohorte de soldats royaux avait formé un chemin menant à la salle de récéption. "Comme c'est banal" avait-il pensait, tous les seigneurs de mondes semblables à celui-ci adopté ce comportement envers eux. Et comme toujours, plusieurs dizaines de soldats avaient vacillé à la vue de ces dieux de la guerre dans leur équipement de combat.

"Je ne m'attendai pas à vous recevoir dans une tenue comme celle-ci, s'était étonné un homme aux cheveux grisés par l'âge et dont l'embonpoint ainsi que la riche tenue désigné comme le maître des lieux et de cette planète
-sachez que nous apparaissons toujours ainsi, c'est une chose imuable et non une offense à vous, avez répondu Krieg"
C'était un sergent de la compagnie de Vessiel et son successeur certain, son visage long et faux gravait une image de serpent dans la mémoire des autres et son air hypocritte montrait bien son habitude pour ce genre de mission.
"Profitez astartes de l'Imperium, cette fête est en votre honneur, et nous pourrions discuter des termes de notre accord. Nous souhaiterions une discussion avec votre primarque sur ce sujet aussi, afin d'avoir tous les accords nécesa..." Sa phrase fut coupé par la griffe de Vessiel qui trancha d'un geste vif, et même malgrès son armure, c'était bien au delà des limites humaines. Le seigneur tomba à terre, mort d'un seul coup du géant.
"Vous ne m'héritez pas que je vous parle, alors notre primarque ne vous adressera jamais un seul regard, dit-il d'un ton chargé de mépris et de rancune. Tuez les tous! N'en gardez qu'un seul! ordonna-t-il d'une voix déchargé de tout sentiment à part l'excitation."

L'ordre fut répércuté et les bolter claquèrent, les bruits des explosions masquant la musique. Le silence vint vite, accompagné de l'odeur de poudre et de chair brulée. Alors seulement virent les gardes, dépassés par la situations, ils étaient visiblement dépasés et terrifiés à l'idée que seul trois guerriers aient pu vaincre une cinquentaine de nobles accompagnés d'une vingtaine de gardes expérimentés, et cela en moins de trois minutes.

Le combat fut bref, et avait duré moins de dix minutes, durant lesquels cent trois soldats de la cour furent abattus. Et moins de trentes minutes plus tard, le manoir était vide de toute présence à l'exception des trois spaces marines et d'une jeune fille qui devait approcher des 18 ans. Son visage était encadré de cheuveux bruns en bataille, et son visage porté des échimauses de sa capture, la colère, la peur et la peine marquaient ses traits d'une expression horrible, entre le cris de rage et un torrent de larme.
"J'aime cet expression, plaisanta le frère Vanus, tu me fais penser à cette prophétesse sur Rinar 5, lorsque j'ai abbattu tous ses compagnons un par un.
- Ça suffit Vanus, nous la lacherons au village le plus proche, c'est ici que notre combat commence"
La jeune fille hurla et les anges du massacre partirent pour leur véritable guerre.

C'est bizarre, tes Nights Lords ressemblent à des SM du Chaos, je sais qu'ils le sont, mais là c'est Pré-Hérésie, alors qu'ils ne montrent aucune pitié pour les ennemis de l’Empereur, je comprends, on peut s'y attendre, mais envers les Citoyens de l'Imperium, je comprends moins. Je pense que pour un massacre tel que celui-ci, ils seraient tous massacrés et leurs compagnons torturés pour leur apprendre les bonnes manières.

Non, la je parle de citoyens d'un autre planète, pas encore de l'imperium, et ils se sont toujours comporté comme des chaotiques, au vue de leur planète qui était très difficile, la population était dirigée par les criminels qui terrorisaient la populace, ça a donné au night lords une personnalité propre à eux, ils sont une arme de terreur (c'est ainsi que Curze vint au pouvoir) et n'ont pas de respect pour la vie humaine. Comme horus l'a dit: "Konrad et sa légion sont parfaits si vous voulez que votre ennemi salisse ses bas avant même votre attaque".

Et notez que l'Empereur lui même a rasé des villes entières de l'Impérium pour mettre Lorgar au pas à propos de la religion (c'est pas mieu, surtout qu'il a demandé ça aux ultras).

Citation :

C'est bizarre, tes Nights Lords ressemblent à des SM du Chaos, je sais qu'ils le sont, mais là c'est Pré-Hérésie, alors qu'ils ne montrent aucune pitié pour les ennemis de l’Empereur, je comprends, on peut s'y attendre, mais envers les Citoyens de l'Imperium, je comprends moins.

Bof, les SM ne sont pas des tendres à la base, j'avais entendu parler d'une nouvelle ou des black templars "sauvaient" un monde et les habitants priaient pour qu'ils ne reviennent jamais ^^
Bref un SM c'est pas un bon samaritain, faut pas croire (et c'est pas non plus un super bourrin qui tue tout ce qui bouge)
Alors déjà que les SM ne sont pas vraiment gentils, les NL (qui étaient borderline à fond bien avant l'hérésie) c'est limite normal qu'ils massacrent tout le monde.

Je pense que ça dépend de la mission. Soit elle est de rallier le système à l'Imperium, dans ce cas ils minimiseront les pertes. Soit elle est de contrer un éréthisme, et dans ce cas je pense que les pourparlers ne seraient que de courtes durées. Et cette dernière option est, si j'ai bien compris, la bonne...

Nan nan, j'ai lu tout ce que j'ai trouvé et dans tous les cas, les night lords auront la même solution: faire en sorte que l'adversaire se chie dessus et se rende, les négociation n'existent pas avec les night lords, ils refusent tout simplement, pensant que la terreur forgera un lien plus dure que la négociation.

Bon, après quelque temps remplies de flemme et de projets à mener à bien, j'ai fini par me remettre à ma nouvel, en espérant que ça vous plaira:


Des indicateurs apparaissaient sur sa vision, l'alertant d'une menace en dessous de ce qu'on aurait pu appeler de la faiblesse, comme si son armure ressentait le besoin de lui indiquer que des moucherons l'attaquaient.

Les balles des soldats humains laissaient sur l'armure opaque du marine, de petites trainées tachant la céramique de taches sombres. Mais ces maigres traces de resistance disparaissaient sous les coulés écarlates déclanchées par chaque mouvement de ce dieu de la guerre, chaque coups de ses griffes décrivant une courbe de mort, tranchant chairs et os, laissant voler des profusions de sang. Le liquide carmain venait recouvrir les ornements dorés couvrant les gantelets, reflétant la lumière des griffes, donnant un aspect encore plus surnaturel à ce guerrier, renforçant son aspect de spectre d'outre-tombe venant quérir son tribu d'âmes et de souffrances.

Le combat fini, le Night Lord s'immonilisa, ses bras étendus vers le sol, écartés de son corps, comme si cela lui permettrait de mieu saisir cette instant où la fureur du combat remplacée par le calme et le silence de la mort, laisse les derniers fragment d'une joie carnassière et morbide au combattant.

Il s'arrêta de penser au passé et se contenta de focaliser son esprit vers l'instant présent, vers sa mission. Il désactiva ses griffes et se remit à courir dans la rue, laissée à l'état de charnier de chair et de mort, la peur ayant marqué à jamais ce lieu de sa trace fétide et malfaisante.

Un peu bourrin mais assez sympas. L'intrigue n’avance tout de même pas beaucoup; c'est comme si il en était toujours au même point qu'au début!

Je sais que l'intrigue n'avance pas, mais j'ai du mal à me décider, donc en attendant que je trouve une ligne fixe, je fais de petits passages comme çà (si j'avance aussi trop vite, j'atteindrais pas mon but).

Voilà une autre partie de la nouvel, j'éspère que mes efforts pour faire évoluer l'histoire vous plairont (j'ai un peu essayer):

Il continua sa course effrainée dans les couloirs du batîment, ses mouvements brisant régulierement des objets sans grande valeur. Il arriva dans un cul de sac et se retourna vers ses frères, soutint Vanus du regard, comme si ce simple contact des yeux pouvait équivaudre à une conversation, les années de guerre côte à côte leur avait appris à se comprendre de cette façon, sans briser l'adrénaline du combat par un dialogue stéril et dénué de sens.
Vessiel pris son élan et donna un unique coup de gantelet sur le mur, laissant tomber dans le vide derrière la cloison, les morceaux de cette dernière. La lumière filtra dans le couloir, donnant sur un champs de bataille stagnant, les compagnies de l'armée Impériale se heurtant sur une grande esplanade de marbre, aux défenses improvisées mais résistantes des derniers survivants de la population. A ce stade, chaque homme de la planète avait compris que la paix ne viendrait plus, et tous préféraient vendre chèrement leur dernier souffle plutot que de se laisser faire par les envahisseurs.
Vessiel aimait cette façon de penser, car il se sentait enfin face à un ennemie digne de lui, un ennemi qui avait délaissé sa peur afin de devenir un véritable guerrier. Il se rappela d'un des suivant de Russ qui lui avait répondu: "la peur est petite et comme tout ce qui est petit, elle est méprisable. Sa première victoire doit toujours être contre sa peur". Même si sur le moment il s'était senti insulté, il trouvé juste les paroles du Space Wolf.
Il délaissa ses pensés et se jeta de l'ouverture, hurlant à l'unisson de ses réacteurs. Quelque minutes après, il se trouvé sur ce champs de bataille, comme ses frères, il se sentit chez lui, non pas sur les marches de ce palais en ruine, mais dans cette bataille, où la peur de la mort avait été délaissée, pour plus tard réapparaitre lors de son arrivée.
Un homme d'une trentaine d'années se jetta sur lui, une lame en main, lancé à toute vitesse, avec l'espoir d'abbattre l'avatar de mort qui se trouvé devant lui, mais il fut stoppé net par un coup de l'astarte. Il n'était pas là pour soutenir la force d'invasion, non il devait entrer dans le palais et abattre les chefs de la résistance, pour mettre un terme à cette guerre de la façon la plus violente possible.
Il se remémorra alors un des fils du corbeau qui lui avait dit: "coupe la tête du serpent et le reste suivra", il avait trouvait juste ce que le Raven Guard lui avait dit. Enfin, dans la limite où ce chef serrait un être digne et puissant. Tout comme son maître, il s'était un jour demandé ce qui ce passerait si, même cela lui paraissait improbable, le primarque mourrait, ses derniers voeux seraient-ils acceptés ou alors la légion se dissiperai dans une guerre intestine entre les capitaines.

Ps: désolé pour le double post mais je préférai séparé le commentaire précédent de la nouvel.

Allez courage, on veut savoir ce qui lui arrivera dans le palais!

J'ai eu pas mal de temps donc j'en profite pour continuer d’écrire, voilà la suite:

Les portes du palais volèrent en éclats alors que le marine chargé l'intérieur du batîment. Il fut accueilli par des tirs disciplinés, les gardes qu'il affrontait n'avait plus rien à voir avec ceux qu'il avait affronté dehors. Chaqun d'entre eux portait une armure verte clair, recouvrant la majeure partie de leur corp, le crâne quand à lui été protégeait par un casque lisse, recouvrant la totalité de la tête. Ils ressemblaient à des parodies d'astarte, plus faibles et moins bien protégés, mais leur présence était une résistance notable et l'attaque des Night Lord s'émmoussait sur ce bloc défensif.
Des traits d'énergies rougeatres virennt frapper son armure, sans toutefois parvenir à percer l'épaisse couche de céramite.

Lorsqu'il vit Krieg tomber sous les lames d'un champion adverse, il se rendit compte que ces êtres qui semblait si fragile ne devaient pas être sous estimés. Il n'avait jusque alors jamais rencontrer un ennemi leur ressemblant si semblables à eux. Il se demanda comment la présence de si grands soldats pouvait avoir été inconnue jusqu'à cette instant.
Il s'élança dans la direction du guerrier adverse, toutes griffes dehors, celui ci se retourna, tenant des lames crépitantes d'énergie, semblable à celle des griffes de l'astarte. Vessiel frappa le premier, ses griffes ne parvenant pas à percer la barrière énergetique du garde, qui répliqua immédiatement, traçant sur le plastron de son adversaire, une profonde balafre ouvrant en deux l'héraldique pectorale du capitaine. Avant que le champion ne continue son attaque, le capitaine se jetta sur lui, ses griffes parant les lames et les immobilisant au sol, il plongea alors son regard sur le casque, comme si il cherchait à traverser le casque pour voir les yeux de son adversaire. Il admira le crâne représenté sur la visière. Sentant son heure approcher, le garde lacha ses lames et renvoya le marine grâce à un puissant coup de pied, tira deux pistolet mais n'eut pas le temps de faire feux, les space marine vint briser le plastron du soldat avec ses griffes, il tomba à terre sous ce coup. Vessiel se baissa et arracha le casque du guerrier, pour tomber en face d'un jeune homme approchantd des 25 ans, au visage creusé par les années de guerre, il retira lui aussi son casque afin que sa victime puisse regarder les traits impartiales de son meurtrier.

Citation :

Il admira le crâne représenté sur la visière.

Ce n'est pas spécifique aux chapelains le crâne-casque? Sinon c'est pas mal, bien qu'il y ait quelques répétitions.

Nan, je me suis rendu compte que je me suis un peu fail dans mes expressions, je voulais dire sur le casque du garde, mais j'ai aussi eu du mal à trouver des synonymes donc c'est normal la répétition.

Je me suis rendu compte que ça faisait déjà une semaine que j'avais rien écrit, donc je continue.

Il jetta un regard à Krieg, le cadavre décapité par un coup d'arme énérgétique gisait sans vie.
"Indigne" fut la seul pensée qui vînt à Vessiel quand il regardait le marine, enfin ce qu'il en resté. Jamais il ne l'avait aimé, mais il l'avait accepté comme un frère, grâce à ses capacités, mais jamais il n'aurait pu le considérer autrement que comme un allié dans la bataille, jamais il n'aurait pu l'appeler son ami. Car il était trop hypocrite, toujours à conspirer, mais au moins c'était un de ses talent, là où il exceler, autant voir même plus qu'à la guerre. Il se dit qu'il avait parfaitement la carrure de ces hommes politiques fourbes, cherchant toujours leur profit, se détournant à n'importe qu'elle occasion de leur mission, et que le sergent aurait plus eu sa place dans ce domaine.

Il récupéra les générateurs de lames de son ancien adversaire, regarda un dernière fois les reflets du casque et du crâne dessiné sur la visière, comme une pathétique tentative d'insinuer la peur chez leurs adversaires, à l'instar des tribus barbares dont les membres peignaient des motifs tribaux sur leur corps, afin de paraitre plus terrfiant.
Il plaça dans une pochette de cuir, les deux poignés renfermant le système à énergie, il les garderait surement comme trophée, ou peut être l'envie lui prendrait de se battre avec, comme était leur fonction première.

Maintenant, des soldats de l'armée impériale emplissaient le halle, formant des lignes de compactes de soldats, suintant la peur ou le surplus de confiance, ces derniers mourraient s'ils continuaient à croire qu'ils étaient invinsibles. L'effroi prit la file de guerriers, quand ceux-ci découvrirent le corp inanimé de Krieg, pour beaucoup c'était la première fois qu'ils voyaient ça. Un médecin voulu se frayer un chemin, mais un soldat le retint, de peur qu'il ne s'attire à tous la foudre des astartes.

Le capitaine détourna son regard des renforts, et regarda le couloir, plongé dans les ténébres, son sang bouillonait, semblant lui chanter des litanies de haine et de meurtre. Il se mit à marcher, puis à courrir, pour finalement se lancer à pleine vitesse, des ailes de feu trainant derrière ses réacteurs.

C'est bien mais les relations Krieg-Vessiel ne sont pas assez développées pour qu'on puisse ressentir quoi que se soit à la mort du marine... Je pense qu'une analepse (je me plais à employer du vocabulaire élevé en cette fin de journée ) permettrai de mieux percevoir ses émotions: regrets, haine, joie, compassion...

Je ne suis absolument pas calé niveau écriture, c'est quoi une anallepse?

Être ignorant n'est pas un problème. Ne pas chercher en est un.
Laisse moi t'aider dans ta quête de savoir !

Reynova a répondu pour moi. Juste un petit passage (la rencontre des deux personnages, un acte de grandeur ou au contraire de vilenie...) approfondirait déjà bien plus les émotions que nous pouvons ressentir et enrichirait grandement le texte!
Mon exemple favori sont ces dix minutes du dernier Harry Potter, où l'on se rend comte de l'identité de Rogue. Ces quelques instants font pour moi passer le film du stade "enfantin à en rire" à celui de tragédie. Le fils des morts ou l'histoire de la destruction d'un homme, tel aurait pour moi dut être le titre.

Je vais m'attacher à ça pour continuer, mais ce soir j'ai pas trop le temps, je vais tacher de faire quelque chose de plus travaillé pour ce passage.